Achats compulsifs 1

Une semaine de doute. Une journée pluvieuse. Pas toujours facile. Dans ces conditions, direction la Fnac pour quelques achats. Le samedi, c'est terrible, à croire que tout le monde s'y donne rendez-vous. Quelle idée peut-elle bien traverser leur esprit embrumé quand ils décident d'aller à la fnac un samedi ? Euh... finalement, oublions cette question. Bilan de l'opération : 74 €. Plutôt raisonnable.

La Belle et la Bête (sortie le 20 février 2006)
Depuis le temps qu'on l'attendait, celui-là. Enfin, moi. Un coffret élégant, avec un dvd de bonus contenant, entre autres, une lecture ésotérique du film, mais aussi un livret fortement inspiré du magnifique livre (je vous le recommande) de Dominique Marny sur les coulisses du tournage. Et moi, les coulisses, ça me dit.

L'attrape-coeurs, de J.D.Salinger
Le livre des tueurs en série. Celui que Mark Chapman avait à la main quand il a tué Lennon. Il est plus que temps de lire l'histoire d'Holden Caufield.

Le portrait de Dorian Gray (sortie le 8 mars 2006)
Le chef d'oeuvre d'Oscar Wilde enfin en dvd. Je garde un souvenir fort de la version d'Albert Lewin (1945) avec dans les seconds rôles, George Sanders et Angela Lansbury ! J'ai envie de le retrouver, ce souvenir. Un peu de nostalgie... 

La nuit de l'oracle, de Paul Auster
J'attendais la sortie du livre de poche. Cela fait quelques semaines qu'il est sorti, mais bon, je n'avais pas eu trop le temps... Retard rattrapé.

Memories of murder
J'ai découvert il y a quelques années le cinéma coréen et depuis, j'en suis fan (notamment de Park Chan-Wook). J'ai hésité à acheter L'île mais j'ai une certaine réticence à le voir, à cause de ses scènes si controversées. Je me suis rabattu sur Memories of murder, récompensé par le grand prix du festival de Cognac en 2004, étant quasiment assuré de voir un excellent film, tant les critiques sont unanimes.

L'envoûtement de Lily Dahl, de Siri Hustvedt
Après le mari, la femme. J'ai toujours un peu de mal avec son nom. Siri Auster, ce serait plus facile. D'un autre côté, ses origines scandinaves disparaitraient. Ah la la...