La grande brocante de Tintin
Des dizaines d'exposants proposaient toutes sortes d'objets, de figurines et bien sûr d'albums. Les prix allaient du plus dérisoire au plus exorbitant. Les objets, eux, allaient du plus monstrueux (comme une reconstitution catastrophique de la Licorne, pourtant d'une taille plus qu'imposante) au plus précieux (éditions originales). Cela dit, on y trouve plus de cochonneries que de raretés.
Je me suis personnellement contenté de l'achat du livre d'Albert Algoud, Tintinolâtrie, à un prix dont la modicité prêtait à sourire. En fait, je pensais l'ouvrage épuisé, mais il a été réédité et on le trouvait (plus cher, ouf) dans tous les magasins bruxellois de BD.
Et parmi la foule bon enfant, venue chiner en famille et dénicher la perle rare, on pouvait apercevoir Milou tenu en laisse par Tin... euh... non, rien. Ce fox-terrier aura d'ailleurs l'honneur des infos de RTL le soir même.
Je ne suis pas sûr de retourner à cette brocante en juillet 2010. En revanche, Bruxelles, je sais que j'y retournerai. C'était d'ailleurs la septième ou huitième fois que je m'y rendais. La capitale de la Belgique, même si elle ne propose pas les merveilles de villes comme Paris, Londres ou Rome, se révèle bien agréable et apaisante. Et les frites y sont si bonnes...
[Marché aux Puces Tintin, place du Jeu de balle, Bruxelles, samedi 18 juillet 2009]