Uccellacci e uccellini
Le titre de la fable de Pasolini s'imposait pour mon article. Pour celui ou celle qui ne serait ni italophone, ni cinéphile, la traduction en est Des oiseaux petits et grands (1966). Je me souviendrai toujours de Toto, "parlant" pigeon en sautillant. Cette décennie marquait l'apogée du cinéma italien... Nostalgie...
Bon, revenons en 2006. Voici les premiers essais de mon nouvel objectif, pris lundi dernier, dans le jardin des Halles. Qu'en pensez-vous ? L'avis de celui ou celle qui ne serait ni photographe, ni ornithologue, est également le bienvenu. Tiens, je me demande s'il existe des gens qui ne s'intéressent ni à l'italien, ni au cinéma, ni à la photo, ni aux oiseaux ? Mais je suppose que oui, forcément.
[Divers volatiles, Jardin des Halles, Paris Ier]