Les japonais l'ont, pas nous #3
(Suite de l'épisode précédent)
On a vu le soin que les japonais mettent à égoutter leur parapluie ou à l'empêcher de goutter. Regardons avant toute chose à quoi ressemble un parapluie japonais.
Profitons de ce porte-parapluie installé à l'extérieur d'un bâtiment. On constatera d'abord que la majorité des parapluies sont transparents à poignée blanche. On les trouve absolument partout, dans les Lawson et autres conbini, ouverts 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, à des prix dont la modicité fait sourire : 350 à 500 ¥, soit entre 3 et 5 €. On peut partir sans et on en achète un dès qu'on a besoin. C'est ainsi que j'en ai ramené trois à Paris...
On notera ensuite que, bien que dans la rue, il n'y a aucun risque de se faire voler, le Japon est certainement le pays le plus sûr au monde. Cependant l'échange inopiné et involontaire est possible, vu l'uniformité du parc.
Le cycliste est comme le piéton exposé à la pluie. Plutôt que de tenir le parapluie d'une main et le guidon de l'autre, voici un accessoire bien pratique : il permet de fixer le parapluie sur un vélo ! Enfin, quand je dis pratique, je demande à voir. Au passage, le titre de l'article est un peu erroné dans la mesure où cet ustensile est disponible en France. Mais ce n'est pas le cas des parapluies transparents.
Et si je vous disais que je n'en ai pas encore tout à fait fini avec ces parapluies, vous me croiriez ?