Bubulle bâilleur
Bâilleur, euse, subst. Celui, celle qui bâille. Le bâilleur stupéfait, bredouillait parfois une excuse, parfois épouvanté se levait en hâte, tirait la ficelle et quittait la voiture (G. DUHAMEL, Chronique des Pasquier, Le Notaire du Havre, 1933)
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Bâilleur... de fonds, pas encore, mais à fond, c'est sûr ! Quel clapet !
Chez nous, un bâillement trahit un besoin d'oxygène, mais chez Bubulle, c'est un rite. On pourrait comparer ça, à la cérémonie du thé, au Japon. Des heures de préparation, une exécution ralentie et en plusieurs temps, pour un résultat agréable mais éphémère.
Mais bâille, mon Bubulle, bâille. Ta cérémonie du thé, c'est mon petit plaisir à moi.